Le XML-RPC est un truc simple : le client envoie une requête type web (comme celle du navigateur web) au format XML à un programme sur un serveur qui sert de webservice chargé de récupérer le XML. Dans ce XML, il y a une méthode appelée et ses paramètres à appliquer (les paramètres dépendent de la méthode). Après quelques vérifications protocolaires d'usage, le webservice analyse le XML pour extraire les informations donc il a besoin pour appeler la méthode avec ses paramètres puis il renvoie le résultat, au formt XML également.

Voyons concrètement avec un exemple.

GRDDL est un mécanisme destiné à glaner des descriptions de ressources dans les dialectes des langages. Cette spécification GRDDL introduit un balisage, fondé sur les standards existants, afin de déclarer qu'un document XML contient des données compatibles avec le cadre de descriptions de ressources (RDF) et afin d'associer des algorithmes, typiquement dans une représentation XSLT, pour en extraire les données.

Le balisage inclut un attribut qualifié par un espace de noms pour les documents XML d'utilisation générale et un lien d'association qualifié par un profil pour les documents XHTML. Le mécanisme GRDDL permet également de déclarer dans un document d'espace de noms XML (ou un document de profil XHTML) que chaque document associé à cet espace de noms (ou profil) contient des données à glaner, et d'associer un algorithme pour recueillir les données.

Le sitemap.xml est un fichier nécessaire pour améliorer le référencement d'un site web. Il peut être maintenu manuellement. Mais il pourrait être utile de se libérer de cette tâche en le générant automatiquement.

Le SVG est un langage de description d'élément graphique sous forme vectorielle qui permet de conserver une qualité visuelle correcte quelque soient les dimensions dans lesquelles elle est affichée. Si l'on possède une image haute définition ou plus grande que ce qui est utile, il est parfois utile de vouloir la redimensionner.

Il peut parfois être utile d'insérer des données dynamiques dans une page statique (HTML) sans pour autant générer dynamiquement toute la page.

XBEL est un format XML de description de marque-pages (bookmarks). Au-delà d'un format d'échange, nous pouvons l'employer pour générer un certain nombre d'autres formats.

Si XBEL peut servir à décrire les marque-pages de toutes sortes, nous pouvons le détourner (ou plutôt restreindre le périmètre) pour maintenair l'arborescence d'un site web personnel et générer rapidement un certain nombre de documents à partir de là...

Par défaut, le RDF/XML inclut des éléments de type texte mais ne prend pas en charge le contenu de type XML autre que celui du RDF/XML, c'est-à-dire pour décrire un graphe.

Ainsi, un fragment XHTML ne décrit pas un graphe, mais un contenu à reprendre tel quel et à interpréter non plus selon la dimension RDF (sémantique), mais selon la dimension XML (structure).

Dans les transformation XSL nous voyons souvent des convertions d'un fichier XML en d'autres format (XHTML, HTML, XML, fichiers plats, etc.). Mais rarement l'inverse. Pourtant, avec une simple transformation XSL et quelques astuces, il est possible de convertir un fichier plat en un fichier xml qui pourra, par la suite, être travaillé et transformé plus aisément.

L'avantage de disposer du fichier plat au format XML permet de le manipuler plus aisément.