L'utilisation en lieu et place d'images classiques (jpeg, png, etc.) permet une certaine souplesse dans certains cas.

Tout d'abord, étant vectoriel, il est souvent plus compact qu'un autre format. De plus, il permet un usage avancé des CSS puisqu'on peut lui attribuer des propriétés sans utiliser plusieurs images. Les images et icônes peuvent donc s'adapter facilement à une page sans avoir besoin de les retoucher.

L'insertion de SVG dans un document statique peut se faire de différentes façons, en fonction du format du document support.

Il peut parfois être utile d'insérer des données dynamiques dans une page statique (HTML) sans pour autant générer dynamiquement toute la page.

Le web a été inventé pour partager de l'information, c'est-à-dire faire la part belle à l'information. Il est donc dommage de sacrifier une partie de la surface d'affichage à des informations secondaires, voire inutiles dans la plupart des cas. Car, en réalité, ces informations usant de l'espace visuel sont-elles toujours utiles pour tous ? Assurément non. Il est donc dommage de sacrifier de la largeur (seule dimension limitée) et de la surface d'affichage pour ces informations. Autant utiliser l'affichage pour n'afficher que ce qui est utile car, dans la grande majorité des cas, c'est ce que demande l'internaute.

XBEL est un format XML de description de marque-pages (bookmarks). Au-delà d'un format d'échange, nous pouvons l'employer pour générer un certain nombre d'autres formats.

Si XBEL peut servir à décrire les marque-pages de toutes sortes, nous pouvons le détourner (ou plutôt restreindre le périmètre) pour maintenair l'arborescence d'un site web personnel et générer rapidement un certain nombre de documents à partir de là...

Par défaut, le RDF/XML inclut des éléments de type texte mais ne prend pas en charge le contenu de type XML autre que celui du RDF/XML, c'est-à-dire pour décrire un graphe.

Ainsi, un fragment XHTML ne décrit pas un graphe, mais un contenu à reprendre tel quel et à interpréter non plus selon la dimension RDF (sémantique), mais selon la dimension XML (structure).